Huit jeunes ont été arrêté la semaine dernière pour avoir fait des graffiti sur des immeubles et des portes de garage de résidences. Ils ont été pris en possession de pochoirs, cannettes de peinture et marqueurs. Leurs gestes étaient clairement prémédités, car ils étaient bien préparés. La police de Verdun rappelle que les graffitis ne sont pas tolérés, qu'ils détériorent les quartiers et occasionnent des frais pour les victimes. Elle incite les citoyens à rapporter ces méfaits au 911. En plus de s'exposer à des poursuites judiciaires qui pourraient leur valoir un dossier criminel, le graffiteur pourrait également être poursuivi au civil afin, entre autre, de rembourser les frais du nettoyage. Le parent pourrait être alors contraint de débourser la somme réclamée puisqu'il est responsable de son enfant.

Le Magazine
L'Île-des-Soeurs

***

Graffitis : comment éloigner les tagueurs

***

Take a walk through any part of town and you're bound to come across walls, fences, bus shelters covered in scribbles.

Tagging, that ridiculous need to mark one's territory the same way your dog does, is unsightly, unintelligible, and unpalatable. And it's everywhere.

Last week, Verdun's Maison St. Dizier, a beautiful 300-year-old heritage home, was tagged top to bottom. What exactly is so rebellious and cutting edge about such a cowardly act? It doesn't take much (or any) talent to grab a spray can, deface the side of a building and call it your right to free expression.

Spray painting scribbles on a wall are neither art nor a political statement. Tagging (not to be confused with graffiti murals, which I think are stunning) offers nothing, other than expenditures passed down to hapless taxpayers, who not only have to look at the mess, but also have to pay for its removal.

Toula Foscolos

***

Trois jeunes hommes tués, happés par un train de passagers sous l'échangeur Turcot
Les jeunes, qui s'étaient rendus en voiture près des lieux pour faire des graffitis n'auraient pas entendu le train arriver.

MONTRÉAL - Dans le but d’établir un dialogue avec les graffiteurs, l’arrondissement du Sud-Ouest accueille ce week-end
la 6e édition de l'événement «Can you rock», une convention internationale d'art graffiti.

Toute la fin de semaine, une soixantaine d’artistes, dont la moitié provient de l’extérieur de Montréal, pourront ainsi compléter en toute tranquillité
des oeuvres sur les quatre murs extérieurs de l'entreprise Papiers MPC, située sur la rue Cabot.

Parmi ces princes de la peinture en aérosol, on note la présence de l'artiste new-yorkais Cope2, véritable sommité dans son domaine.

Les scratchitis coûtent chers

Retour