Inclusion

L'intégration scolaire, une fausse bonne idée - fbi

POUR UNE INTÉGRATION RÉUSSIE

Une menace pèse sur l'intégration scolaire
Louise Leduc

On pourrait regrouper les enfants en difficulté dans des classes spéciales, mais on ne le fait pas.
Résultat : obligés de côtoyer des élèves forts à longueur de jour, les faibles se sentent encore plus faibles.
Et les forts manquent de stimulation et se poignent le beigne.
Bienvenue au Québec.

Richard Martineau

 

Avis aux décideurs :

L'enseignement ne sera jamais un métier facile

mais avec

l'intégration asymétrique (asymétrique parce que : pas d'intégration dans les classes du programme international)

et l'enfant-roi

c'est rendu intenable d'autant plus que l'on donne aux débutants

les groupes qui demandent le plus d'expérience.

Il y a des limites

 

À lire : Le grand mensonge de l'éducation

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De « l’enfant roi » au « parent roi » le pas est franchi

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Sondage SOM-FAE :

Plus de 59 % des Québécois et 62 % des parents d'élèves de l'école publique
affirment être en désaccord avec le fait d'intégrer
tous les élèves en difficulté dans la classe régulière.
Même les parents d'élèves qui ont des difficultés sont de cet avis à 64 %.
La proportion favorable monte à 89 %, tant pour l'ensemble de la population que pour les parents,
pour la création de classes spéciales à ratio réduit pour les élèves ayant des difficultés sévères.

COALITION POUR NE INTÉGRATION RÉUSSIE

Inclusion

Arlette Cousture

Une intégration controversée

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